10 juin 2006
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L'ami le compagnon, le frère,enfin celui qui a de l'attachement, du gout, toi le pauvre qui manque de cet ami, vraiment nombreux sont les amis du riche, mais toi qui est plus riche qu'euxou est-tu,toi le compagnon tout disposés à se briser tu esplusataché qu'un frère.
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7 juin 2006
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ajouter un regard a votre regard, non pas celui des yeux, mais celui du coeur, c'est pas facile de vivre avec le regard de l'autre, celui qu'ont recherche , celui que l'ont trouve et celui qui manque. Oui vous les bien voyants voyez vous avec les yeux du coeur, regardez bien que voyez vous ; l'amour, le réconfort, la confiance, la patience, la joie, les rires et puis comme un soir dans la grande rue les lumières finissent par s'éteindrent; merci deregardez avec vos yeux de coeur.
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5 juin 2006
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qu'est-ce qui marche, la marche a pieds, mais pourtant vous n'etes pas bete margueritte, oh pardon je voulait dire Berthe aux grands pieds, pieds de nez, mais vous me boudez, bien quoi faitemoi un sourire, mieux que cela, pas trop grand ont dirait legouffre de padirac, et je voie que vous n'avez pas changer le fond, non pas de votre culotte, enfin pas de cela entre nous, ont ne vas pas l'éffeuiller avec tout le respect que je vous doit, doigts de pieds, pieds de nez,pied-à-terre,mais vous avez un pied-bot quel beauté ont dirait un pied-d'alouette je te plumerait.
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4 juin 2006
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17:19
Les lumières mais pas les projecteurs, qui m'éblouie, ha Marguritte, votre silhoutte est -elle si lumineuse que je voie plus rien, mais quel lumière est-ce là, éblouissante, au point de troubler ma vue, mais non je n'ai pas oublier mes lunettes n,y ma l'orgniette, qoui que dite vous là comment encore cette réflection, de voir de l'autre coté, non grosse dondon, pas de verre grossissants, cela me suffissent ; suffi
sance, suffisante vous faite une fixation arrété de me fixer comme cela, bien je vais etre l'allumeur de révèrbères si vous y denez.
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31 mai 2006
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y a t-il quelqu'un a l'autre bout, mais quel bout celui de la l'orgniette, mais quelle orgelet ; voyons margueritte arrétez de regarder de l'autre coté, mais quel coté etes vous celui de la l'orgniette, le bon bout de la l'orgniette , voir, regardez, l'orgnet, en un mot que regardez vous ?
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31 mai 2006
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Le jour où j'ai appelé, tu t'es mis à me répondre ; pareille connaissance est trop prodigieuse pour moi .
Elle est si haute que je n' y puis atteindre .
Combien donc tes pensées me sont précieuses. Je me suis réveillé, et pourtant je suis encore avec toi. Eux qui disent de toi des choses leur idée ils ont ton nom de manière indigne.
de ceux qui ont médité des choses maubaises dans leur coeur, qui tout long du jour ne cessent d'attaquer comm dans des guerres. Ils ont aiguisé leur langue pareille à celle d'un serpent ; le venin de la vipère cornue est sous leurs lèvres .
Les orgueilleux ont caché un piège pour moi ; pour filet ils ont tendu des cordes au bord de la piste.
Oh ! hàte-toi, réponds-moi, . Mon esprit est arrivé à sa fin . LE DIVIN
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26 mai 2006
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parole, parole mais qu'est ce que c'est que ça, voila encore des blabla,toujours est-il que les dernier potains de margueritte vont bon train, mais de qui vous aller parler maintnant, je ne sais a vous de me le dire, dire quoi, mais de quoi ont parle blablabla de bavardage, de jaseur ; des babllards, des causerie en quelques termes des bavards ;mais j'arrete la mes blablabla.
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23 mai 2006
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Et quoi les bonbons rose, vous n'etes pas contant de votre sort, poutant la vie en rose, que tout le monde voudrait, devient de plus en plus grise hiiiiiii ; attention comment grosse dondon ha, pas d'insultes ; s'il vous plait ne me regarder ainsi comment des noeux dans mes cheveux, non il vous faut des lunettes ; lunettes grossissantes double foyer, bein quoi ont n'aime plus la plaisanterie ici bas.
Pour aujourd'hui je vais m'arret la. Mais un petit effort avec tout le respect que je vous doit, pouvez corriger mes fautes d'orthographes. merci
fifilaplume.
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